Pour notre escapade dans la châtaigneraie cantalienne sur un week-end au départ de Toulouse, en passant par Caussade, Caylus, Villeneuve sur Aveyron et Figeac, nous voici, au bout de 2h30, à l’entrée sud du Cantal, le début du domaine de la châtaigneraie !Nous sommes arrivés à notre 1ére étape-arrêt de notre balade : Maurs-la-Jolie 🙂
Étape-arrêt N° 1 : Maurs- La-Jolie
Appelé également la Nice du Cantal, Maurs est un village déjà plus « sudiste » marqué par ses toits en tuiles rouges. Les maisons du vieux Maurs sont accolées les une aux autres formant un cercle parfaitement visible depuis le ciel que lui avaient donné ses remparts autour de l’église. La route (boulevard) qui contourne le village a été faite sur les douves comblées au 18ème siècle.
Il y a encore de nombreuses maisons à colombages. L’église Saint-Césaire est une majestueuse bâtisse gothique fondée au 14ème siècle par des moines venus de l’abbaye de Saint-Géraud à Aurillac. Le nom de Maurs est mentionné pour la première fois au 10ème siècle ce qui en fait une des villes les plus anciennes du Cantal.
Tous les jeudis matin se tient un agréable marché avec les producteurs locaux.
Après s’être dégourdis les jambes, nous voici « on the road again » direction Marcolès. Il faut être patient ! Pour moi c’est la partie douce-amère d’un voyage de 30 minutes : douce parce que le cliché des vaches cantalous et des près vallonnés prend tous sons sens, amère parce que c’est un rodéo et ça n’arrête pas de monter et tournoyer.. et j’arrive toujours malade comme un chien !!
Mais ça vaut le coup pour sûr !…